mercredi 27 février 2008

Isabelle Boulay raconte à la télévision, comme elle chante souvent sur l'amour, qu'à 18 ans elle a eu une terrible peine de cette sorte ("la", dit-elle, de sa vie). Incapable de la supporter plus longtemps, l'idée lui vint d'aller voir un médecin. La médecin qui la reçoit lui dit alors: "Isabelle, ya juste une chose que je peux te dire, c'est qu'ya une chose ben importante, c'est de jamais en arriver à aimer quelqu'un d'autre plus qu'on s'aime soi-même".

Je... si...vous... les mots me manquent soudain. S'il vous plaît aidez-moi, appelez le 911, des pompiers, n'importe qui, envoyez-moi quelqu'un. Toutes les fibres de mon être se détachent une à une et se dispersent comme aspirées dans un sac de poussière.

8 commentaires:

Renart Léveillé a dit…

"Toutes les fibres de mon être se détachent une à une et se dispersent comme aspirées dans un sac de poussière."

J'ai rarement lu de l'ironie aussi poétique.

Mek a dit…

Je dirais : crisse la din vidanges, la grosse colisse de tivi sale à marde.

Franz Schürch a dit…

Justement, je me suis brouillé avec videotron suite à une discussion philosophique, mais il avaient laissé jusqu'à aujourd'hui une version primitive du cable dans mes fils dont je jouïssait gratuitement, qu'ils viennent de couper ce matin. Enfin, je vais pouvoir me remmettre à lire des livres. Je ne sais pas ce que je vais faire pour le hockey, toutefois, et la nécessaire dose de Kovalev dont j'ai besoin quotidiennement pour me remonter le moral. Je crois que les blondes de mes amis vont m'aimer de moins en moins.

Franz Schürch a dit…

Faut vraiment que j'apprenne à me relire AVANT de taper sur ce putain de bouton enter!

Mek a dit…

Fais comme moi et regarde les matches le lendemain matin sur CBC.ca !

Anonyme a dit…

J'ai la suite de cette entrevue avec Isabelle Boulay. Elle aurait affirmé qu'après sa consultation chez le médecin, elle aurait décidé de suivre ses conseils à la lettre. Avec du temps (et un bon miroir), elle est tombée amoureuse d'elle-même. Beaucoup plus simple et beaucoup moins blessant. Puis, par la suite, elle a décidé de partager son amour (d'elle-même)avec sa belle voix langoureuse.

Gomeux a dit…

Chez nous, le hockey c'est à la radio. Et à la CBC le samedi soir.
Comme dans le temps. Mais en anglais.
C'est bien en anglais, y a pas Pednault. Ni l'autre.

Anonyme a dit…

«Ce sera à nous de contrôler la rondelle le plus possible pour faciliter la chose, a dit Carbonneau."

Sacré Carbonneau! Je me suis trempé de rire, j'ai fait dans mon violon.